jeudi 30 décembre 2010

Frustrations

Mercredi 8 décembre
Aujourd'hui est un jour de fête, donc pas d'acces internet - le blog attends. J'attends le bus pour m'amener vers Estramoz avec ma tasse de thé et le ciel est nuageux avec des taches de blue. Il est plus chaud que plus au nord.
Le bus arrive une heure en retard et je découvre que le Portugal est au GMT et que je suis toujours à l'heure française. L'inspecteur et le conducteur réfuse d'accepter le vélo et je deviens faché et très negative mais je ne pouvais pas discuter et j'étais obliger d'accepter le résultat.
Ce genre de situation me rappel comment je me suis devenu opinionaître. Chez moi, en France, je me permets de l'être, mes critiques de normes sociales et physiques n'étant pas sans fondament et je pourrai argumenté mon point de vu pour promouvoir le changement. Par contre dans un pays où je ne connais à peine quelques mots et je ne peut pas m'exprimer ce n'est pas sage de ne pas accepter calmement ce que je ne pourrai pas contester. Ça a l'air d'être une des leçons que je suis en voyage pour apprendre.
Donc je repars pour enquêter sur les trains. Pas de problème pour le vélo mais jusqu'au Portalègre. Positivement la gare est 10 km au sud de la ville et je pars vers le sud. Le point negatif et que le train part à 5h55. Au moins j'ai gagné une heure avec le changement de l'heure. Deuxième nuit à l'Auberge.
Jeudi 9 décembre
Debout à 4h30, petit déj et courir à travers la ville. Arrivant tôt mais au bout de souffle comme d'hab. J'attends les employées pour savoir où aller mais au dernière minute tous rentre dans l'ordre et je suis installé dans le bon train. Puis on attends une demie-heure de plus avant de partir.
Allant dans le noir je ne pourrai rien voir mais quand le jour se lève je vois que la pluie tombe très forte. J'ai changé de train à Abrantres, 20 km de Tomar qui a été fortement touché par le tornade deux jours avant.  Au bord du chemin de fer j'ai remarqué des vieux poteaux de téléphone avec des platformes pour des cigognes.
Maison en ruines avec Cigognes
Approchant Portalègre la pluie s'arrête et nous arrivons avec des nuages èpaisses vers le nord et le ciel éclatant vers le sud.
vers le nord
vers le sud
Je suis parti sur une bonne route nationale avec une large bande d'arrêt d'urgence et j'ai pu monter le plupart des collines en pedallant pour arriver à Estramoz vers 18h00. 45 km pendant l'après-midi. 
Mon paysage préférer - entre Portalegre et Estramoz
J 'ai contacté l'ami de Dan, Luis qui est venu me chercher où je l'attendais pour passé plusieurs jours chez lui.

Finally in Portugal.

Je me suis arrêté à la première village en Portugal - Aldea da Porte pour ma tasse de thé habituelle et je suis rencontré une famille, trois soeurs qui parlaient francais et leur père qui était Portugais. Le père vive dans ce village et ses trois filles ètaient en visite de Bordeux.
Famille Ramajal
Il m'a racconter qu'il a travaillé à Pau en 1958. Les filles faisait une visite de quatre jours pour voir Papy. J'ai resenti la chaleur conviviale de leur famille. J'ai pris leur photo et ils m'ont donné un bout de fromage de brébis que j'aime. Nous nous sommes devenus amis sur Facebook.
Autour de 16h00 ca commence a pleuvoir et j'ai remis mes imperméables. Après avoir monté 2 km à pied et le temps étant vers 15h00 j'ai cherché un endroit pour monter la tente avec encore 5 km avant la ville suivante. J'ai essayer d'allumer un feu mais la pluie m'a gagné. J'ai trouvé un petit creux que j'ai nettoyer de cailloux et remplis de feuilles de chêne et montée la tente là dessus. Un autre repas du soir avec des tartines. Je me rends compte que j'aime bien camper pour pouvoir cuisiner mais je ne peux pas sous la pluie. 
Mardi 7 décembre
Après une nuit de vente et de la pluie j'ai pris le vélo pour aller à Sabrugal et trouvé un supermarché pour remplir mon stock des aliments. Dans le parking j'ai rencontré des anglais qui m'ont dirigé vers les autobus. Avant d'arriver à la gare j'ai vu le bus pour Castello Branco sur la route et je l'ai fait arrêté. Après un premier non, il m'a permis de mettre le vélo et mes sacoches dans le coffre sous le bus. Malgré le fait que j'ai commencer la journée avec mes imperméables ca n'a pas plu et dans le bus j'ai pu les enlèver.
Déscendant les montagnes j'ai remarquer que je suis dans un autre région climatique. Des oliviers et des orangers sont de plus en plus fréquents. Les arbres caduques avec des feuilles jaunes.  Partant vers le sud le temps s'ameliore mais arrivant à Castillo Branco le ciel était couvert de nuages épaisses et pendant la nuit, dans l'Auberge de Jeunesse, j'ai entendu un vent violent entre des bâtiments. Le lendemain  il y avait des images sur le télévision d'un tornade à Tomar, pas très loin d'où j'étais.

mercredi 22 décembre 2010

Off to Portugal

Dimanche 5 Décembre.
J'ai quitté Ciudad Rodrigo autour de 9h30 avec le soleil mais très vite les nuages se sont venues et ma dernière vue de la cité était ceci:
Un arc en ciel m'a poursuivi pour un temps pendant que la pleuvine m'a trempé avant que j'ai rendu compte.
 
Changeant en imperméables était un peu en retard mais j'était contente parce que la pluie n'a que continué d'augmenter. Après autour de 35 km je suis arrivé au dernier village d'Espagne qui s'appelé Albergueria qui veut dire quelque chose comme  l'endroit où se trouve les auberges, nada. La premiére fois que je n'ai rien trouvé. Je me suis campé sur quelques mètres carrés à l'abris du vent en bordure du village sous la pluie. La radio en panne de batterie et FM nul, j'ai écrit mon journal et reflechis sur quelques conséquences de mon désire de faire ce voyage. Mon objectif était de m'entrainer pour le tour du monde et de suivre le soleil. Je suis surement entrainé pour le froid et la pluie. J'apprends d'être confortable avec. Enfin c'est une question d'être bien équipé en sachant quand s'enservir. Mes imperméables comprend des bottes de travail bien graissés, manteau et pantelons des travail imperméables avec le capuche sous la casque. Pour le frois j'ai un gilet en peau de mouton et un manteau légèrement isolé fini avec une capuche canadiènne qui couvre la nuke, les oreilles et la tête ainsi que le visage et nez s'il faut. En plus j'ai des gants imperméables qui remplace les gants en cuir. Tous ca c'est un peu lourde.
Lundi 6 Décembre
J'ai attendu que la pluie s'arrète avant de partir. Lu des voyages de Joe à Melbourne où habite ma soeur Rosemary, et son départ pour l'Indonesie. J'ai pensé à lui chaud et humide dans le jungle quand je suis parti dans mes imperméables que j'était enfin obligé d'enlèver, faut de manque de pluie et la sueur dedans.
J'en ai tous chargé et parti à pied comme d'habitude, avec autour de 3 km de route avant le Portugal et 36 km avant la première ville Sabrugal. Le temps était beau, ciel blue avec quelques nuages. Le vent était toujours contre moi ; je voyagais toujours vers le vent.
Finalement, avec les trains et l'autobus, je n'ai que pedalé 200 km en Espagne, mais l'hiver avait l'air d'être derrière moi.





mardi 7 décembre 2010

Done Spain

J'ai pris le bus à 11h00 (le 10h00 semble d'être oublié) vers Ciudad Rodrigo arrivant une heure plus tard ayant passé un paysage de plus en plus enneigé. Sur le bus j'avais l'impression que j'ai fait 'Done Spain' avec mon passage en vitesse, pensée qui m'a choqué et j'ai décidé d'au moins visiter Ciudad Rodrigo avant de quitter l'Espagne.
Après avoir m'installer dans le pension et lavés quelques sous-vêtements je me suis sortie pour faire quelques courses mais trouvant que les magazins étaient fermés je me suis assis sur un banc et j'ai regardé autour de moi. J'ai remarquer des styles très differentes coté à coté, phenomène que j'ai déjà remarqué en Espagne si différent que la France et l'Angleterre. J'ai poursuivi avec mon appareil photo...











 Puis j,ai vu ceci.

 
Et je découvre la cité medaevale de Ciudad Rodrigo par hazard.







 




















 J'en ai pu faire mes courses ici.





























 Rien si ce n'est pas moderne.





Et j'en ai plus de batterie.