vendredi 26 novembre 2010

Rainy Days

Mon jour de repos à San Sebastian était un succes. J'ai complèté mes taches y inclus réparer mon sac qui a été endommagé en route et trouver la carte de la Camino del Norte vers Santiago.
J'ai manger sur la plage et le soleil brillé assez pour que c'était bien. La plage de San Sebastian doit être une des plus belle que j'ai jamais vu. J'étais surpris par le nombre de personnes qui plongés dans la mer malgré le temps.







Images
Mardi matin j'ai pris la route pour Santiago et j'étais choqué de découvrir que j'étais obligé de pousser le vélo 9 km avant que la route était assez niveau pour monter. Une autre journée de pluie avec un pause ensoleillé à midi mais après 35 km sous la pluie j'en ai eu assez et j'ai trouvé une auberge de pélérins à Zumaia et j'ai arrêté pour une douche chaude, un repas chaud et une bonne nuit de repos.
Avant de dormir j'ai commencé à lire 'Cycles of a Traveller' par Joe Diomede. C'est étrange de découvrir quelqu'un d'autre (qui été 40 ans mon junior au moment) avec cette même besoin urgent de voyager et voir le monde sans un objectif specifique en vu.

Mercredi j'ai quitté l'auberge disons mes adieus à Miguel et Kiki, les deux frères qui le tiennent. J'ai partager mes pensées sur l'état en déclin de l'économie avec Miguel et j'ai trouvé que il voit la situation plus ou moins comme moi. J'étais le seule hôte à l'auberge, ma première nuit dans un auberge privé. J'ai commencé la route sous la pluie mettant mes vêtements de pluie - hier je les ai enlèvé quand la pluie semblait arrêter et je me suis trempé - donc aujourd'hui je les ai gardé et toute l'après midi ca n'a pas plu. Ça fait conduire le vélo moins confortable et j'ai souffert pour rien mais changer des vêtements sur la route est une longue opération que j'évite.
Après 38 km j'arrive à Markina mais les deux auberges étaient fermé pour l'hiver. Poursuivant mon enquête j'était diriger vers un bar oú on m'a proposé un lit et petit déjeuner dans une auberge à Bolibar quelques 7 km plus loin. Étant trop tard pour entamer la route en vélo le barman m'amener dans sa voiture laissant le vélo dans l'hangar du bar.

Jeudi, le petit déjeuner étant du à 9h00 n'a pas eu lieu. Le patron arrivant à 9h30 m'a ramené à Markina dans sa voiture. Après pain d'épices et thé j'ai parti pour Bilbao mais j'était vite doublé par la pluie. j'ai traverser le Col de Trabakia à midi - pain et sardines dans un arret d'autobus - et continuer vers Etxebarri sous la pluie.
Arrivant à l'appartment de l'amie d'Anna, le marie, en residence ne pouvez pas être trouver et après une heur d'attente j'était obliger de continuer la route vers Bilbao. Trop tard pour l'auberge j'ai trouver une pension en ville et décidé de prendre le repos vendredi pour améliorer mes vêtements de pluie et trouver un cybercafé pour mettre à jour le blog.

Plus tard: Je retourne pour poser des photos (manque de cable ce matin) et j'en ai trouvé les gants de montagne et des sur-chaussures imperméables.


 Bibao by night
Je suis prêt pour traverser des montagnes oú ils prévoient la neige, 4 jours pour aller á Burgos.

lundi 22 novembre 2010

Espagne sous la pluie

Je suis parti pour l'Espagne sous un ciel couvert. Traversant le bout des Pyrénées m'a donné beaucoup de collines a grimper à pied. La pluie augmentait pendant la journée et je n'osais pas sortir l'appareil photo qui a déjà souffert d'être humide. En Espagne la signalisation des routes sur les routes moins importants ne mention pas les grandes villes plus loin et sans une carte adequat je me suis trouvé sur l'autoroute. Heureusement les policiers m'ont guidés vers une sortie convenable, même en poussant mon vélo quand je n'avancais pas assez vite pour eux. Ils m'ont laisser au début de la connurbation de San Sebastian mais je me suis perdu encore. Deuxième coup de bol, un cycliste espagnol, Alvero, qui a déjà voyager en Irelande, Pays de Galles, Angleterre et la France m'a remarquait, m'ayant déjà vu sur l'autoroute et il m'a guidé a travers San Sebastian vers l'Auberge de Jeunesse. Sans son aide je n'aurez jamais arrivé.

Les rafales de vent violents m'a fait le trajet difficile mais j'ai réalisé 53 km de route. Je suis arrivé froid, humide et fatigué mais une longue conversation avec les receptionnistes de l'auberge m'a rechaufé. J'ai décidé de prendre lundi comme un jour de repos pour récupérer de mes efforts, laver me vêtements et mettre à jour mon blog.

dimanche 21 novembre 2010

Getting into it

Vendredi matin je quitte Pau pour la cote. Journée nuageuse mais sans pluie. J'ai fait 80km, mon total pour le voyage est 235km. J'ai vu plusieurs rondpoints bien aménagé pour les vélos.

Rondpoint aménagé à Laroin


Sculpture rigolo.

Sculpture vivante à Mourenx
Good views of the Pyrenées.

Les Pyrénées vu de Lagor
Il n'y avait pas d'auberge sur la route et j'ai campé pour la nuit à Peyrehorade sur un terrain à vendre caché par quelques bambous. 
Ma tente sur mon 'camping'
Mon départ était retardé par la pluie. Les prévisions était pour la pluie et des rafales jusqu'au 100 kmh. 10h00, la pluie s'arrete et le soleil brille. Je pars sous le soleil suivant les rivières Gave et Adour vers Biarritz, 47 km plus loin. 

jeudi 18 novembre 2010

Le voyage commence

J'ai finalement pris la route lundi matin et parti pour St Gaudens sous la pluie. Ça commence a éclaircir avant midi et j'ai eu ma première vision de Mont Valier(?) au soleil.
 Mont Valier au soleil (? C'était visible à l'oeil nu)
St Gaudens, je suis resté à l'Auberge de Jeunesse et parti pour Tarbes mardi. Après 40 km j'ai réalisé que j'étais trop fatigué pour arriver à Tarbes avant la tombée de la nuit et j'ai attendu le train pour arriver à l'Auberge à l'heure pour le repas du soir.
Mon vélo au bord de la route vers Tarbes
Je suis parti pour Pau sous la pleuvine et arrivé sous la pluie pendant mercredi l'après-midi. J'ai reserver deux nuits à l'Auberge pour pouvoir prendre du repos et de réparer certaines problèmes avec mes équipements. Pour le prochaine étape le méteo nous promesse de la pluie et du vent et il n'y a pas d'Auberges avant Bayonne - deux jours plus loin.

Bonne rencontre avec Talio, qui partager sa chambre avec moi à Pau. Artichecte, Designer, Buddhiste. Echange de musique, filmes et textes. Jeudi, un jour de repos avec le temps de faire quelques petites réparations au vélo.

dimanche 14 novembre 2010

Fausse start

Fausse start. De retour à la maison. Vélo trop chargé. J'ai donné des aliments aux amis à Montbrun pour allégée la charge mais la sortie de la vallée de Montbrun était trop longue pour arriver à St Gaudens ce soir. Je doit encore allégé le vélo et repartir demain matin.

samedi 13 novembre 2010

Décisions & Préparations

De retour chez moi fin septembre. Qu'est-ce que je fait? Ce n'est pas le moment de prendre la route pour l'Afrique de l'est, mon choix préféré. Rester chez moi pour continuer à bruler le forêt? - non. Donc route vers le sud; Espagne Portugal et Maroc. En quête pour le soleil, la construction en terre, un monde plus simple où je pourrai contribuer de ma façon; eco-construction (http://lorien.free.fr), écoinformatique (www.ecoinformatique.net), connaissance du processus de changement climatique qui se déroule partout et transforme les conditions de vie rapidement.

J'identifie un vélo d'occasion à vendre, idéale pour le voyage, de ma taille, cadre en acier (cro-moy), tout simple. Mais a ramasser sur Clermont-Ferand. Des grèves impose des délais que je ressoude finalement avec une voiture de location, qui double le prix du vélo. Je trouve des porte bagages Surly, des sacoches Vaude, le Selle brooks, les accroche pédales, Power Grip, la chaine de sécurité Abus, Le dynamo au moyeu et chargeur Busch et Muller. Je ne pourrai pas plaindre de mes équipements. Merci le bouclier fiscale, qui m'a rembourser mes charges sociales forfaitaires de 2008 l'année ou mon entreprise n'a pas fait de bénéfice.

Unfinished Buisness.
Le Mur en Paille Verticale (www.habitat-tradition-ecologie.org) que j'ai développé avec Ben Corrie nous a convaincu de sa valeur comme nouvelle approche à la construction en bottes de paille. Je l'avais décrit sur le site et l'annoncé sur quelques forums -
http://compaillons.naturalforum.net/accueil-et-presentation-des-nouveaux-membres-f67/mur-en-paille-verticale-t3734.htm
http://www.ecologie-pratique.org/forum/viewtopic.php?showtopic=1086
http://www.onpeutlefaire.com/forum/index.php?act=ST&f=70&t=11210&st=0#entry173368
http://ecorce.forumactif.com/construction-paille-f4/mur-en-paille-verticale-t28.htm

Quelques centaines de personnes ont vu ces annonces mais pas le moindre réponse.  Nous étions invité a participer à l'Assemblé Générale des Compaillons et nous avons apporté notre gabarit de construction (brancard) pour présenter notre technique.

A partir des commentaires que j'ai eu, j'ai compris que la tension sur les bottes est très importante non-seulement pour éliminer des vides et des zones moins dense, mais aussi pour moduler le taux de résistance thermique contre l'inertie pour optimiser le temps de déphasage de la construction par rapport au site. Donc il faut a la fois, pouvoir tensionner les bottes et pouvoir mesurer la densité de la structure résultante. Toute la sophistication de la construction avec des bottes de paille réside dans la possibilité d'optimiser sa résistance thermique et sa masse thermique. S'adresse à Ben (ben.corrie(at)habitat-tradition-ecologie.org) pour toute informations.

Demain à midi je pars du Marche de Montbrun Bocage pour passer l'hiver au sud et de tester ma capacité de rouler semaine après semaine, nécessaire pour pouvoir faire le tour du monde. Je compte d'être de retour début avril 2011. Vous pouvez suivre ma route et faire des commentaires sur ce blog.

Merci pour votre support.

mardi 9 novembre 2010

Entrainment, recherche des ancestres & mariage.

Après une semaine de repos et de préparations Je suis parti en train pour Lyon où je passais deux jours avec la famille de mon fils Cory. Des orages et un grève à l'école m'a fait resté un deuxième jour pour s'en occupé de mes petits enfants, Zoé et Noa.
Image

J'ai récemment découvert, de ma famille Australien (juillet 2009), l'identité de mon père, qui s'appelait Lucien Fourer, un commando avec des Forces Français Libres qui est mort à la Libération de Normandie au 10 juin 1944. Le père d'une amie d'Anna, étant collectionneur avide des inscriptions des Monuments aux Morts, m'a permis de découvrir qu'il a été né à Villeurbanne (69) le 24 décembre 1920. Selon mon cousin nouvellement découvert, Raymi; fils de ma tante Gina et d'Armand Jung, un compagnon de mon père dans le Commando Kieffer; mon père était connu comme le Haut Rhinois, qui suggère que lui ou ces parents sont d'origine du Haut Rhin en Alsace.
Mon VTT sur la piste cyclable de la Doubs
Je me suis organisé pour fouiller des archives  à Colmar, le chef lieu de Haut Rhin dans l'espoir de retrouver trace de mes grand-parents. Allant en vélo, pendant quatre jours j'ai parcouru les registres de naissances de 1896 et 1898 d'autour de la moitié des communes pour trouver trace de mes grand-parents. Une semaine extrêmement frustrant sans aucun résultat. Je doit retourner pour contrôler l'autre moitié de la département, mais pas cette année. La dernière nuit à Colmar j'ai campé sur le Camping de l'Isle, très accueillant pour le voyageur en vélo.
Falke et moi
J'ai repris la route pour Lyon accompagné de Falke vers Mulhouse et le Canal de la Doubs. A Montbéliard j'ai rencontré Julien Alexandre de Cyclo-Randonnée (http://www.cyclo-randonnee.fr/index.php) qui m'a partager de son expérience de voyages en vélo. J'ai continuer la route avec Rodrigo un ingénier Brésilien qui fait une énorme collection de photos de ses voyages.
Peter              Rosemary

 Noa      
Arrivant à Lyon j'ai rencontrer ma sœur Rosemary et son mari, Peter pour le
premier fois et des membres de la famille recueillit pour le mariage de Cory et Florence.
Cory & Florence
J'ai retourné chez moi avec le VTT en train ayant complété un autre 900 km en vélo. Je me sens confortable avec mon rythme en vélo et j'ai découvert le type de vélo que j'ai besoin  pour faire des voyages de longue halène.

lundi 1 novembre 2010

On the road again




Ayant arrivé à 66 ans j'ai découvert que j'ai une famille en Australie que je n'ai jamais soupçonné. Je me suis décidé d'apprendre a circuler en vélo afin de pouvoir aller les voir et, pourquoi pas, faire le tour du monde.

Je suis à la retraite, sans activité et je m'ennuie, étant seule chez moi. Mes amis, mon jardin, mes projets de construction ne suffit plus pour me motiver et mes réflexions sur l'écologie, le changement climatique et l'état du monde m'empêche toute activité sur place qui n'avancera pas les changements nécessaires.

Je suis enthousiasmé par le projet de voyage en vélo et ayant un VTT à la maison laissé par Adrien, l'ami argentin de ma fille, Anna, j'ai fait mes premiers 80 km à Muret (31) au 10 août 2010.
                                                         Sculpture par Ben Corrie - Bordes sur Arize (09)
Trois jours plus tard je suis partie pour visité une communauté à La Vallette le Vielle (30), une distance de quelques ~400 km. Quelques jours plus tard j'arrive; je prends le train entre Carcassonne et Alès.

Bien accueilli je passe une semaine dans une ancienne village minière qui est bourré de sculptures fait par des habitants depuis une décennie. Des nouveaux habitants continue a retaper les maisons et j'ai pu aider avec un peu d'enduit à la chaux et en terre.
                                           Entrée principale - La Vallette le Vielle
Le retour vers le fin août m'a laissé plein d'enthousiasme pour cette nouvelle activité. Mon corps avait une meilleur forme et j'avais rencontrer quelques personnes intéressantes sur ce petit voyage. J'ai découvert les pistes cyclables et le Canal du Midi.

De retour sur mon marché de dimanche régulier,  J'ai rencontrer Joe Diomede (http://www.cyclesofatraveler.com/) qui a déjà fait le tour du monde confirmant que c'est possible et guidant mes premiers pas en vélo.